Le roi est mort

Le roi est mort et vive le moi.
Rebâtir la cathédrale sans toît.

Et pour l'empire périt la paire.

Et les rues de la capitale, m'infligent une peine qui l'est tout autant.
Sentence fatale pendant cent ans.

Au commencement ton couronnement,
Un commandement, mon consentement.

Mon corps en deux, ton cœur en miettes. Mon cœur en miettes
Je perds l'esprit et toi la tête.

Et les rues de la capitale, m'infligent une peine qui l'est tout autant.
Sentence fatale pendant cent ans.

L'échafaud se profile.
Mais je garde la face.
A l'autel de la liberté.
L'amour est sacrifié.

Et les rues de la capitale, m'infligent une peine qui l'est tout autant.
Sentence fatale pendant cent ans.

Que coule le sang, Que coule mon sang
Formant le ciment.

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